| | Tania ▬ I can't imagine who I really am | |
| Auteur | Message |
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Tania P. Baker
| Sujet: Tania ▬ I can't imagine who I really am Mar 23 Mar - 23:53 | |
| © BABY DOLL | TANIA PENELOPE BAKER - I'm A Hybrid
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AGE : 17 ans DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 13 Mars 1993 & Chicago NATIONALITE : Américaine STATUT : Célibataire JOB/ETUDES : Lycéenne DONS : Privation sensorielle AVATAR : Ashley Greene
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HIGHWAY TO HELL - Votre Histoire
. « Il est étrange de se rendre compte que les liens du sang ne sont pas aussi fort que ceux du cœur. On aime à croire que le lien de sang t’achète les sentiments de la personne concernée car de même famille mais c’est faux. Il n’y a que le cœur qui peut décider »
Point of Vue • Infirmière
1993. La lumière du soleil pénétra à flot dans la chambre d’hôpital dans laquelle je venais d’aider à accoucher une jeune maman qui maudissait tout bas, qui hurlait le visage tordu dans une souffrance qu’elle rejetait de toutes ses forces. Elle ne semblait pas heureuse de mettre au monde l’enfant qu’elle avait porté en son sein pendant neuf mois et j’avais du mal à comprendre, ayant reçu l’amour de mes parents pendant de longues années, comment une mère ne pouvait avoir cette étincelle de bonheur que l’on retrouvait généralement dans les prunelles de toutes ces femmes qui avaient eu le beau cadeau de mettre au monde un être né de leur chaire. L’enfant finit par montrer son visage au monde prêt à l’accueillir et je pris cette petite fille aux yeux vert dans mes bras, plongeant dans ses yeux quelques secondes. Je fus attiré par l’éclat de ses iris, alors que les quelques boucles brunes collées à son front cachaient légèrement ses cils. Je la portais jusqu’au petit bac destiné à la laver et après qu’elle eut finit de hurler, je la vis me dévisager avec attention tandis que sa quenotte attrapait mon poignée avant qu’elle ne recommence à hurler sous la pression de l’air envahissant ses poumons. La séchant rapidement, je la posais dans les bras de sa mère ou plutôt tentais. Car elle ne fit aucun geste pour la prendre et me demanda froidement de l’amener à la nurseries. Sans lui jeter un regard. Me tournant vers ma chef, elle me fit signe d’obtempérer et je m’éloignais avec la petite. Mon cœur se serra alors que j’imaginais ce qu’allait être sa vie si sa mère continuait sur cette voie. Me perdant dans ses yeux vert, je lui souris tristement. J’avais une peine profonde pour cette enfant. Et alors que je la posais dans son berceau, je ne pus m’empêcher d’embrasser sa joue légèrement sans me douter que ce serait la dernière marque d’affection réelle qu’elle recevrait avant longtemps de la part d’une adulte.
[…]
J’ouvris les yeux dans la pénombre de ma chambre, me tournant légèrement sur mon oreiller alors qu’une faible lueur filtrait par les rideaux entrouverts. Je me levais toute excitée, regardant par la fenêtre tandis que la neige recouvrait de son manteau blanc tout le jardin. Le bonheur était répandu sur mon visage alors que je dévalais les escaliers aussi rapidement que me le permettait mes petites jambes. J’avais appris par mes camarades de glace, que le père noël dont je n’avais jamais entendu parler, apportait aux enfants qui faisaient une liste, des tas de cadeaux le 25 décembre. Même si je n’avais pas de sapins par désaccord parental, j’espérais en trouver dans la chaussette rouge vive que j’avais suspendu à la cheminée. Mais quand j’arrivais près elle je sentis bien rapidement mes rêves partirent en fumée. Il n’y avait absolument rien. Quand mon père traversa le salon, il ne s’étonna même pas de me voir debout si tôt, ne brisant le bruit de mes sanglots que pour m’adresser un bref bonjour dénué de sentiments. Ravalant mes larmes, les essuyant rapidement, je ne fis aucuns commentaires. Mes parents me détestaient, pourquoi le père noël m’aimerait t’il? Quittant précipitamment la pièce, je me jetais sur mon lit après avoir fermé la porte, pleurant en silence, ne comprenant pas pourquoi je n’avais pas droit à ce que les autres enfants pouvaient avoir? J’entendis ma mère m’appeler alors pour me faire garder par la maman de Sasha. Me relevant, je regardant dans mon miroir, le visage de cette fillette de huit ans, défiguré par les larmes amères d’un désespoir incompréhensible. Enfilant un haut ,je le mis sur un pantalon, mes basket et mon blouson rose, avant de descendre pour suivre une femme qui ne m’accorda un regard que pour vérifier ma tenue. Montant en voiture, elle me déposa devant la maison de Sasha sur un au revoir bref, tandis que je me retrouvais toute seule un 25 décembre devant la maison d’une amie. Non pas que je n’étais pas heureuse de me retrouver dans une famille unie mais était-ce trop demandé un regard, ou même une étreinte? Ce que je n’avais jamais eu…bien que l’ayant espéré. Je détournais les talons avant de pénétrer la maison de mon amie. La surprise étant que le père noël m’y avait laissé des cadeaux, que je vécu une véritable fête chez Sacha avec Marlow en prime. Mais il me manquait quelque chose, il me manquait ma mère et mon père.
« Les années passent, châteaux de cartes envolés et désillusions permanentes. Le temps forge le caractère et endurcis les cœur pour passer les épreuves déjà connues auparavant. »
J’en avais vécues des choses durant ma petite adolescence comme je l’appelais. J’avais dû faire face à toutes les choses de ma vie féminine toute seule, parfois craignant la maladie ou encore le disfonctionnement de mon métabolisme. C’était des sensations que j’aurais aimé bannir, des sensations qui m’ont fait peur aux larmes comme les premières règles à mes douze ans. Aucunes filles ne s’attends, lorsqu’elle n’a pas été prévenue au préalable à perdre du sang abondamment et je me suis retrouvé dans cette situation sans pouvoir en parler à ma mère. J’avais peur et je savais que comme d’habitude elle ne serait pas là. Cependant, quand je vis que ça ne s’arrêtait pas, j’ai tenté de lui dire mais elle n’a pas réagit, perdu dans la contemplation de son livre ennuyeux et sans valeur. Finalement, ce fut la mère de Sasha qui m’expliqua quand mon amie au courant se tourna vers elle. Ceci n’est qu’un exemple du manque défaillant maternel et je ne parlerais pas du paternel qui me regardait davantage comme un trophée que comme un être humain. Cette situation était d’autant plus étouffante que je ne la comprenais pas. Était-il seulement possible d’avoir une explication qui pouvait justifier le fait de haïr sa fille? D’en être indifférent?
Quoiqu‘il y avait des regards qui ne me trompaient pas. Je me sentais épiée, même si tout était passé sous silence. Je regardais souvent derrière moi, comme si je m’attendais à voir un visage. Je ne tardais pas à découvrir qu’en réalité, mon père ne se lassait pas de me surveiller. Et même si au départ, ça me faisait plus peur qu’autre chose, je finis par entrer dans son bureau avant de demander d’une voix plus fébrile que je ne l’aurais désiré. « Je voudrais savoir si je fais quelque chose qui ne te plait pas. ». Il me jeta simplement un regard, mais je n’eus jamais aucunes réponses à ma question. Juste un regard froid qui me fit passer l’envie d’en savoir plus. Je me jugeais parano, après tout, pourquoi me suivre des yeux sans cesse alors que mon existence ne lui plaisait pas. Mais très rapidement, je dus me faire une raison. Il me surveillait… Pour une raison, j’en étais certaine mais je ne la connaissais pas encore. Il n’était pas indifférent mais certainement parce qu’il devait y gagner quelque chose.
Mais je n’étais pas la seule bête noire de la maison. Mes parents n’étaient pas vraiment le modèle d’amour adolescent que l’on pouvait voir chez d’autres. Ils n’était pas non plus un couple banale qui s’embrassait de temps en temps. Ma mère le haïssait, et je le ressentais vivement car elle lui jetait des regards qui en disaient long. Moi elle ne me regardait à peine, indifférente à mon existence. Mais ses prunelles brûlaient mon père du feu de l’enfer dès qu’elle l’avait dans son champs de visions. Et j’étais intimement convaincue que j’en étais la cause, je le sentais de toutes les fibres de mon corps, mal à l’aise dans ce genre de situations. C’était difficile à supporter, et j’avais du mal à m’y faire si bien que je pris une décision pour essayer d’attendrir leurs cœurs.
« Tu es ce que tu es pour plaire aux autres »
J’ai finit par changer. Non pas que je ne m’aimais pas, je l’avais appris à force d’être entourée de ma vraie famille, à savoir Sasha et Marlow. Cependant, je voulais également que mes parents me voient, je voulais avoir une famille autre et une vie différente. Si bien que je pris ma mère comme modèle et je me suis refroidie vers ma dizaine d‘année. Je voulus devenir plus dure et moins montrer ce que je pouvais ressentir. J’avais essayé depuis des années d’attendrir ma mère par mes pleurs mais maintenant, puisque ça ne fonctionnait pas, je voulais être à l’antipode de ceci. Le visage fermé, je ne voulais plus montrer qu’elle me blessait par son manque de remarques et attentions. J’aurais pourtant dû m’y habituer au cours de toutes ces années mais je n’en trouvais visiblement pas la force. A table, aux déjeuner et autres, je ne tentais plus de lancer la conversation sur leurs activités journalières ou sur les miennes, et je compris rapidement que ça ne leur manquait pas. Si bien que je ne regrettais pas mon choix bien qu’il n’eut pas le résultat escompté. Je me suis éloigné d’eux à défaut de les voir se rapprocher. Mais cette personnalité froide, ce masque de perfection derrière lequel je me cache, je ne pus que le garder par habitude, grandissant avec cette volonté de ne pas apparaître fragile, telle une fleur qu’un frôlement peut détruire.
« Je me suis habituée au silence, je me suis habituée aux ombres sans forme que peut receler cette ancienne demeure. Je suis seule, et pourtant je ne vis pas seule. Triste réalité dans ce monde de merveille. Ce n’est qu’en dehors de mon foyer que je peux réellement sentir la chaleur d’un soleil »
Frère, sœur, sœur et frère. Je les ais tous deux connus enfant. Je sus alors que jamais rien ne nous séparerait tous les trois bien que nous étions encore dans un âge peu avancé. Personne n’ignore que l’enfance est propice à tous les rêves et à tous les espoirs. Mais j’en étais tellement intimement convaincue que je ne me trompais pas. Nos liens avaient tendances à se renforcer au fil des années et mes sentiments évoluèrent. En effet, à force de taquiner le seul garçon présent, je me mis à ressentir davantage que ce que je ne devrais avoir pour un simple frère. Cependant, c’est un sentiment que je ne saurais réellement décrire, mais il me fit découvrir ce qu’on appelait la jalousie. Car en grandissant, il attira les filles et sortaient bien entendu qu’avec des moins que rien. La pitié me submergeait et je ne pouvais m’empêcher de critiquer à tort et à travers. Si bien que parfois, je savais que quelques gifles ne m’auraient pas fait de mal, au moins, j’aurais pu les lui rendre pour qu’il ouvre les yeux sur les filles qu’ils côtoyaient. « Tu as toujours autant de goût, je suis inquiète, décidément, tu n’évolues pas. » Et je terminais mes petites piques par des sourires angéliques avant qu’il ne me rende la pareille. Tout en ressentant derrière toutes ces taquineries un fond de sentiments négatifs.
Ainsi, parfois, pour ne pas y songer, je faisais du shopping. Et pour être franche, j’en faisais tout le temps. C’était mon moment à moi, les moments où je ne m’occupais que de moi tout en dépensant l’argent que mon père avait la générosité de me donner. Quoique… grâce à lui, j’étais également capitaine de mon équipe. Comme quoi, il lui arrivait de penser à moi une ou deux fois dans sa vie. Je tourbillonnais dans les rayons, au travers des couleurs estivales ou hivernales pour être toujours à la dernière mode. C’était ce qui illuminait ma journée, avec l’appui des sourires des personnes les plus importantes de ma vie. Et puis les grands magasins…. C’était également un lieu où l’on pouvait faire toutes sortes de rencontres intéressantes.
En dehors du shopping, ma seconde passion dans ma vie c’est bien entendu les pom pom girls. J’y suis entré il y a un peu plus de deux ans, et très rapidement, je devins capitaine. Cependant, mon côté perfectionniste ressortait avec les filles, et je réagissais un peu en reine. Je ne savais guère faire autrement et puis j’aimais à porter ce masque. J’aimais ne pas avoir de rivales, mais j’aimais également exister tout simplement en dehors de ce nid familial.
Et je ne savais pas encore de quelle façon j’existais.
MOOD DEFINE IF IT'S A GOOD DAY - Votre Caractère
. « Ce que je préfère dans ma vie reste ma liberté. La liberté de pouvoir prendre mes décisions, la liberté de pouvoir avancer dans la vie selon mes désirs »
▬ Tu es bornée Tania, de trop pour paraître assez adulte à nos yeux. Tu es d’une arrogance affolante, et ton attitude me déplaît fortement.
Assise sur le canapé du salon, je recevais le visage froid tous les reproches que ma mère pouvait me faire. Je n’avais pas besoin d’elle pour définir ma personnalité. Bien au contraire, je savais parfaitement qui j’étais et même bourrée de défauts, je les reconnaissais facilement. Relevant la tête fièrement, je la regardant dans les yeux, la jaugeant arrogante. Oui dis le. Je le suis et je ne m’en cache pas. Pourquoi être respectueuse envers des gens qui se soucient si peu de mon existence? Après tout, que je ne rentre pas de la nuit ne devrait pas la toucher. Elle m’avait vu pleurer et étaler ma faiblesse toute ma vie sans lever le petit doigt, mais maintenant c’était terminé. Je détestais montrer ce que je ressentais, je détestais ne pas être forte. Et quelque part, j’essayais de devenir cette femme parfaite qui pourrait leur plaire et à contre cœur. J’avais pris cette habitude, et personne ne pouvait se douter des tumultes incessant que je pouvais vivre hormis une ou deux exceptions dans mon existence. Être faible … fragile … ce n’était plus une image que je voulais avoir, je voulais être aussi indifférente à leurs égards qu’ils pouvaient l’être envers moi.
▬ Te rends tu compte de la personne que tu deviens?
Serrant les dents, je réagis à peine à sa remarque infondée. Qui était-elle elle qui m’avait eu sans jamais l’avoir réellement voulut? Comment voulait-elle que je la prenne réellement au sérieux? Cependant, la douleur barrait ma gorge tandis que je peinais à verser les larmes due à la tristesse profonde ressentie devant ce nouveau rejet. Mais je ne voulais plus être fragile, je tenais tellement à être forte et intouchable. Me relevant, je la regardais dans les yeux.
▬ Je suis étonnée que tu t’intéresses soudainement à ce que je deviens.
Vrillant mon regard au sien, j’avais décidé il y a peu de ne plus jamais baissé les yeux et ce, devant personne, quitte à passer pour une pimbêche riche. Je l’étais. Je n’hésitais pas à me servir de mon nom et de l’importance que la richesse peut avoir sur les autres. Ce n’était pas mauvais de ma part, ce n’était pas pour manipuler, car je haïssais l’hypocrisie et la lâcheté, c’était simplement pour asseoir mon autorité sur les autres, montrer que j’étais unique en mon genre et non banale comme mes parents pouvaient le croire. Quand à mes parents que je ne pouvais faire plier, je m’en éloignais tout simplement. Ils ne voulaient pas m’aimer, je ne ferais pas plus d’efforts.
D’autre part, j’avais l’habitude de suivre mes propres directives, comme je pouvais le demander aux autres. M’éloignant, je ne fis plus attention à elle, je commençais à réellement me détacher. Depuis, j’avais un emploi du temps auquel je voulais me tenir, et l’écouter déclamer mes défauts n’en faisaient pas partit. Claquant la porte derrière moi, je souris satisfaite qu’elle ait pour une fois le retour de la balle. Ma fierté s’était incommensurablement intensifiée durant toutes ces années et depuis, j’avais du mal à perdre une bataille. Bien évidemment, je n’avais pas que ce côté durcit de ma personnalité, je n’étais pas sans cœur. J’étais sans cesse présente pour mes amis et pour les personnes qui comptaient pour moi, et dieu sait qu’elles ne sont pas nombreuses. Je suis du genre loyale, à ne jamais laisser tomber. Ce qui ne m’empêche pas de tout leur cacher. Décidément… je me rendais compte qu’en effet, je n’étais pas quelque un de facile. Marchant pensive et rêveuse, je savourais ce moment de solitude dont j’avais souvent besoin tout en m’approchant du lycée et donc de la vie sociale qui reprenait. J’avais appris pas mal de choses au lycée, dont j’étais un peu la reine et je revendiquais cette place. J’aimais être au courant de tout, détenir toutes les informations, pourvoir dire « mais je le savais déjà ». Je passais les grilles la tête hautes, le sourire revenu sur mes lèvres, sans que la scène ne puisse être décelable. Non, j’étais redevenue la petite princesse parfaite sans problèmes.
BECAUSE I'M BEAUTIFULL - Votre Physique.
. Glissant la brosse dans mes cheveux, je lissais mes mèches lentement, leur redonnant leur brillance habituelle, loin du tas de paille que j’avais pu avoir lors du réveil ce matin. Je grimaçais légèrement devant mon teint blafard, bien que mes pommettes bien dessinées soient un avantage car lisses. Le maquillage n’en était donc pas indispensable. Cependant, je savais comment me rendre plus jolie. Arrangeant mes boucles brunes qui cascadaient sur mes épaules dénudées, je pris mon mascara avant d’appliquer une touche de noir sur les cils que j’avais long. Glissant mon crayon sur l’œil, je tournais la tête vers la porte en entendant un bruit, avant de revenir sur mon miroir. Arrangeant mes cheveux que je trouvais trop fins, je passais un haut, trouvant ma poitrine trop petite. Ce n’était pas toujours une mauvaise chose, sachant que les hommes étaient souvent axés sur ça, mais parfois, j’aurais aimé avoir une poitrine un peu plus volumineuse. Enfilant un bermuda noir, qui soulignait mes jambes minces, je ne pus m’empêcher de remarquer une fois encore que j’étais peut-être tout simplement trop maigre. Glissant mes pieds dans mes chaussures, je détaillais mon visage, essayant de m’arranger au mieux. Les traits fins, je n’aimais pas spécialement me tartiner les joues comme beaucoup de filles de mon lycée, je n’aimais que le léger, qui soulignait sans en faire trop. Glissant les doigts dans mes cheveux, comme une manie douteuse et je soupirais. Je ne pouvais pas en faire plus. Ma peau était trop pâle et un soupçon de soleil ne pouvait que m’être bénéfique, j’en étais certaine.
Me baissant, je laçais mes sandales, sans talons, alors que je me regardais dans le miroir. Petite, j’étais mignonne mais j’étais petite, et ainsi donc, j’apparaissais plus fragile que je ne l’aurais voulut. Mais j’étais trop assurée pour que les gens en tiennent réellement comptes. Une fois prête, je ramassais mes affaires, étendues sur le lit ou encore sur la commode. Leggings, haut à bretelles, chemises et cravates, des vêtements classes. J’en avais énormément, tout comme les paires de chaussures, étant une passion redoutable. Le shopping, la dernière mode, tout ceci faisait intimement partie de ma vie et j’aimais à être glamour et sensuelle en toute circonstances. Souriant légèrement, je rangeais le tout comme je pouvais sachant que j’en rachèterais demain, puis pris la porte.
BECAUSE I'M FAMOUS - Vos Liens.
. Sasha ▬ Les liens du cœur priment sur les liens du liens du sang. Cette phrase n’a jamais été aussi vrai que pour Sasha. Elle est la sœur que je n’ai jamais eu, la jumelle que le destin m’a offerte dans le besoin d’affection que je ressentais. Meilleure amie, et la personne qui m’est décidément la plus proche, je ne lui cache rien et elle est la seule qui sache réellement tout de moi. Je lui dévoile mes faiblesses comme mes peurs, et elle me connaît vraiment comme je suis sans apparence ni masques derrière lesquels je puisse me dissimuler.
Marlow ▬ Que dire de Marlow. C’est le grand frère protecteur de notre petite bande composée de moi et Sasha. Il est mon meilleur ami et j’ai toute confiance en lui. Cependant, depuis peu, je le vois différemment. En réalité, je ne sais pas trop depuis combien de temps je le vois sans doute différemment . Cependant, je sais que ma préoccupation préférée lorsqu’il est dans les parage est de le taquiner sans cesse. Quand à ses goûts féminins, je les déplore, il ne choisit des filles qui ne sont pas assez bien pour lui.
Alcéo ▬ Une rencontre qui fut, je dois bien l’admettre explosive. Après l’avoir regardé de trop près par simple désir de vouloir tout connaître, au risque de passer pour une fille s’intéressant à lui, ce qui n’est absolument pas le cas, cet homme a faillit me renverser en voiture, simplement par manque de gentlemanerie. Ce qu’il va finir par reconnaître au terme de quelques phrases bien placées et d’une discussion heureusement courte.
En savoir plus
- Spoiler:
J’écartais doucement les rideaux de la fenêtre, regardant l’extérieur brillamment éclairé. Je sentais que cette journée ne serait pas celle à laquelle je pouvais aspirer. Quelque chose de différent m’attendait, une certitude si bien ancrée en moi que je me posais des questions, faibles, car ma nature différente m’avait habituée aux événements douteux et inhabituels. La pelouse luisait sous les rayons de l’astre du jour, et je me perdis quelques secondes dans les fleurs du jardin ayant écloses il y a peu, au début du printemps. Lâchant le tissu, la vitre fut à nouveau râvie à mes yeux par l’épais rideau parme, tandis que je me détournais pour chercher dans le désordre innommable de la pièce me servant de chambre, quelque chose pour me vêtir correctement. Je trouvais mon haut préféré, un débardeur noir, ouvert en triangle dans le dos, tandis qu’ouvrant ma penderie, je repérais un short blanc qui s'y marierait à merveille, ajoutant une touche de noir avec mes talons puis mon sac à main. Quoique… Le regardant sceptique, je le lâchais avant d’attraper un de neige, afin que ma tenue présente assez les contrastes sans de préférence pour l’un ou l’autre. M’approchant de mon miroir, je mis une touche de rouge à lèvre sur ma bouche, avant d’ajouter mascara et crayon noir pour agrandir mes yeux sans me maquiller à l’abondance. Juste un brin, discret mais assez pour mettre mon visage fin en valeur. Quand à ma coiffure, je me fis un chignon, donc plusieurs mèches rebelles s’échappaient mais qu’importe. C’était un style qui me plaisait, et je souris rapidement satisfaite avant de pousser ma porte et de dévaler l’escalier en silence. Un coup d’œil dans le salon me permit d’attester de la présence de mon père sur le canapé mais je n’éprouvais nullement l’envie de lui faire un signe lui démontrant que je quittais la maison. Haussant les épaules je fermais la porte avant de m’y adosser. Parfois, je regrettais que mes parents soient ainsi avec moi, même si je comprenais. Il m’arrivait de souhaiter autre chose, simplement un peu d’intérêt , ça me suffirait. Mais on ne pouvait tout avoir dans la vie et, c’est avec un sourire amer, que je pris la direction du centre ville, penchant légèrement la tête sous la musique douce qui découlait de mes écouteurs posés sur mes oreilles. J’aimais à marcher sur les trottoirs en écoutant quelque chose de léger, ce qui m’aidait à être d’une humeur semblable, et ainsi oublier les petits problèmes que je pouvais rencontrer dans ma vie familiale.
Arrivant devant le centre commerciale, mon visage fut enfin éclairé d’un sourire sincère. Quoi de mieux que de faire un peu de shopping avant les cours, sachant que ma première heure ne serait qu’en après midi. Une chance et dieu seulement savait à quel point. Foulant le sol impeccable, je me rapprochais de ma boutique préférée avant de regarder les robes pensives. En saisissant une, je repérais alors une fille que je n’appréciais pas du tout un peu plus loin. Grimaçant légèrement devant cette pom pom girl trop rebelle à mes directives, je relevais la tête fièrement, ne souhaitant en aucun cas me donner la peine de lui adresser la parole pour le moment. Et puis je n’y voyais guère l’intérêt alors que je choisissais ma tenue pour le lendemain. Je craquais sur une robe parme avec une touche de rose sur les bretelles, avant que sa voix de crécelle ne retentisse en un bonjour non souhaité. Me tournant vers elle, je l’observais quelques secondes impassible. Je n’avais pas prévue parler à quelque un qui n’en valait pas la peine pendant ma séance shopping, et je n’avais aucune envie de le faire. Cependant, je n’étais pas non plus mal polie et je répliquais froidement mais avec tact. « Bonjour ». Je ne relançais pas la conversation mais eus l’heureuse idée de m’excuser pour repartir vers un autre rayon, lui laissant entrevoir que ce n’était pas le moment pour ses réclamations. Je n’ignorais pas que mon équipe ne me portait pas en son cœur et qu’elle avait fait d’elle leur porte parole. Trop perfectionniste, elle se plaignait du trop de travail mais je ne voyais pas l’intérêt de s’inscrire quelque part si ce n’était pas pour travailler un minimum. Son gloussement m’attira alors et je tournais la tête vers la vitre où je la vis avec un homme qui m’apparaissait réellement…craquant. Levant un sourcil intriguée, je la vis discuter avec lui alors qu’il souriait à peine, l’ennui barrant son front et assombrissant ses prunelles noyées de bleus. Qui était-il? Reculant légèrement pour le regarder davantage, étudier son visage, je ne comprenais pas comment j'avais pu passer à côté d'une arrivée. Je me félicitais sans cesse de savoir tout sur tout le monde et voilà qu’un bel inconnu débarquait sans que je ne sache son identité. Il avait l’air jeune, et pouvait très bien être lycéen. Ne l’ayant jamais vu, j’étais certaine qu’il était nouveau venu, car je n’étais pas du genre à oublier un visage surtout aussi particulier. Non pas qu’il soit étrange mais il avait des traits harmonieux qu’on retrouvait chez peu, et puis ses yeux étaient d’une couleur assez profonde pour marquer. Il tourna la tête et je fus alors happée par ses prunelles si vives, rougissant légèrement prise sur le fait. Détournant rapidement la tête, j’espérais qu’il ne prenne pas mon examen trop attentif pour celui d’une fille intéressée. Je ne l’étais nullement, j’aimais simplement savoir tout sur tout. Et puis, je lui préférais Marlow physiquement bien que lui ait une préférence apparemment marquée pour les blondes siliconées. Sans commentaires… Je payais ma robe avant de passer près d’eux, sentant le regard du bel inconnu sur moi, plus troublée que je ne voudrais l’admettre. Je ne savais peut-être pas son prénom, mais je pouvais attester qu’il avait une sacrée présence et un charisme non négligeable. De surcroît, je pus, en passant, entendre le son de sa voix, grave, et d’une intensité intéressante. Décidément, ce n’était pas quelque un de banal et puis, j’avais quelque chose à raconter à Sasha tout à l’heure même si j’aurais préféré revenir armée de son nom. Je ne supportais pas vraiment que quelque un d’autre en sache plus que moi mais je n’étais pas du genre à m’abaisser à demander, surtout à Melissa qui semblait pourtant, le connaître bien. Peut-être son petit ami qui venait lui rendre visite. S’il n’était pas réellement un résident, le sujet en devenait moins intéressant du coup. Sortant du centre avec mon sac, je remis mes écouteurs en place avant de fermer les yeux quelques secondes, avant de réfléchir pensive à ma propre expérience amoureuse, qui n’était pas réellement réelle puis que je n’étais jamais attiré par personne, et ce sans que je ne comprenne réellement pourquoi. J’avais une manie de tous les comparer à Marlow, et donc à les classer toujours de façon à ce que je refuses systématiquement un rencard. Et c’est agitée de ce genre de pensée que j’avançais sur le parking sans réellement faire attention où je marchais. Au bout de quelques minutes, j’entendis un crissement de pneus assourdissant et je tournais la tête vers la voiture qui avait fait un virage pour m’éviter, le cœur battant à cent à l’heure alors que je me retrouvais aveugle. N’ayant découvert que ce don depuis peu, cette façon de supprimer mes sens systématiquement, j’en perdais un chaque fois que l’émotion se faisait trop forte à contrôler. Me calmant rapidement, respirant profondément pour ralentir mon cœur, je retrouvais la vue peu à peu avant de voir un jeune homme au yeux dissimulés par une paire de lunettes noires, descendre de la voiture le visage fermé tout en les remontant sur ses cheveux. Il se plaça devant moi, ses traits tendus, alors que je reconnaissais l’homme avec Melissa.
▬ C’est une coutume de marcher en milieu de route?
Sa voix froide et tranchante me fit froid dans le dos, alors que m’énervant légèrement, je le fusillais du regard. J’avais manqué de me faire écraser, il n’avait pas besoin d’en rajouter.
▬ Quelques soient mes torts, vous auriez pu avoir l’amabilité de klaxonner.
Il ne bougea pas quelques secondes, son beau visage figé, avant qu’il n’éclate d’un rire moqueur, qui m’énerva plus qu’autre chose malgré le timbre plaisant de sa voix.
▬ J’espérais que vous auriez l’illumination de regarder avant de traverser.
Souriant légèrement, la pique glissa toute seule entre mes lèvres entrouvertes, alors que je le regardais charmeuse.
▬ Votre manque de gentlemanerie est telle que vous n’avez plus la bienséance de laisser passer une femme?
Et toc. Détournant les talons, je le plantais là avant de m’éloigner. Cependant, je sentis ses doigts sur mon bras nu alors qu’il me retenait un sourire charmeur qui ne me fit aucun effet.
▬ Bien pour me faire pardonner, je m’offre de vous raccompagner.
Me dégageant en douceur mais fermement, je relevais la tête avant de vriller mes yeux au sien. Le bleu me submergea à nouveau, mais pas assez pour que ma voix perde un soupçon de d’assurance.
▬ Non merci. J’aime marcher et je préfère la musique à votre compagnie.
Il sourit, ses lèvres s’étirant légèrement, dévoilant une partie de ses dents blanches tandis qu’il s’amusait apparemment énormément et à mes dépens, ce qui me fit lever un sourcil désapprobateur. Que n’aurais je donné pour effacer ça de son visage, bien que montrer mes talents venus de nulle part ne soit pas une bonne idée. Il prit alors ma main tout en répliquant.
▬ Je suis Alceo. Je ne suis pas mécontent de cette rencontre divertissante.
Je retirais ma main d’entre ses doigts avant de sourire.
▬ Au revoir Alceo.
Je m’éloignais sur ses derniers mots, pressée d’aller au lycée et d’oublier cette rencontre assez marquante. J’avais rarement vu une personne qui n’était pas déstabilisé par ce que je pouvais dire hormis Marlow qui me connaissait par cœur et que j’étais impatiente de voir. Sans plus penser au jeune inconnu comme j’aimais à l’appeler, je me dirigeais chez moi afin de poser rapidement mon sac dans ma chambre, avant de repartir pour me rendre en cours. Rejoignant rapidement mon amie, je ne fus pas longue à lui raconter cette rencontre, avant d’apercevoir Marlow avec une autre blonde et de mon groupe de pom pom girl. Je m’assombris sans réellement savoir pourquoi, ou ne tenant pas à approfondir cette question, avant de revenir sur Sasha. Elle fit alors un mouvement de tête vers l’entrée tout en me désignant une personne.
▬ Ce n’est pas lui?
Me tournant vers la porte, je l’aperçus sans qu’il ne me visse encore. J’acquiesçais en silence avant d’en venir aux nouvelles histoires de cœur de mon meilleur ami, afin de m’enquérir de cette histoire toute neuve, détestant déjà sa nouvelle petite amie.
ET DERRIERE L'ORDINATEUR - Vous et rien que vous.
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NOM | PSEUDO : Avalon AGE : 19 ans OU AVEZ CONNU HALFBLOOD : Par PRD COMMENT TROUVEZ VOUS HALFBLOOD : Coup de foudre DES IDEES POUR L'AMELIORER : J'arrive en début, j'attends de voir la suite =) CODE DU REGLEMENT : - Spoiler:
Validé par Sascha AUTRE : I love it <3
| © Banana hammock
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Autorised by Sasha |
| | | Sascha M. Baxter
| Sujet: Re: Tania ▬ I can't imagine who I really am Mer 24 Mar - 0:36 | |
| Je trouvais ça pas juste que nous nous postions nos fiche alors je l'ai autorisée hein ^^(Comme je savais qu'elle était faite ^^). Donc si vous voulez taper quelqu'un c'est moua.
Je valide Le code.
Tu connais mon avis sur la fiche hein je te le redis pas.
Le Test Rp est trés bon aussi (Vous pouvez le voir en spoiler d'ailleurs.)
Je te dis donc une nouvelle fois bienvenue.
*On est même pas ouvert et on a un membre * |
| | | Candice M. Rosedale
| Sujet: Re: Tania ▬ I can't imagine who I really am Mer 24 Mar - 1:35 | |
| Si c'est pas classe çà ^^'
Welcome (again) , mais quel welcome et quelle présentation ^^' (désolé je me prend un peu pour philipe manoeuvre XD)
Je ne trouve rien à redire sur ta fiche .
T'inquiète Sascha on va pas te taper , pas moi en tout cas . |
| | | Shanece A. Carter
| Sujet: Re: Tania ▬ I can't imagine who I really am Mer 24 Mar - 18:19 | |
| - Candice M. Rosedale a écrit:
T'inquiète Sascha on va pas te taper , pas moi en tout cas .[/list] Ah ah...Moi, par contre j'aurais bien envie de me défouler! Lol
Bon revenons-en au sujet principal, bienvenue miss! Et félicitation, après tout tu es la première membre! Ca se fete quand meme! *Sortez le champagne!* |
| | | Sevastian Lazarov
| Sujet: Re: Tania ▬ I can't imagine who I really am Mer 24 Mar - 23:02 | |
| Welcome
Premier membre du forum! C'est la joie! Ta fiche est vraiment très bien. Pour une fois, je n'ai rien à dire! Un véritable miracle! Tu as vraiment trouvé les mots juste pour décrire ton personnage. C'est formidable! En plus, tu as trouvé le code du premier coup! Trèèès bien! Tu connais parfaitement le reglèment alors! On va faire un petit test alors... ou pas =/
Encore bienvenue parmi nous même si le forum n'est pas encore ouvert... On n'est déjà super populaire en faite. xD Bon, j'arrête maintenant!
Sevastian se fera un plaisir de t'accueillir comme il se doit dans la ville de Chicago. Sevastian n'est jamais loooin! Alors attention à toi... |
| | | Tania P. Baker
| Sujet: Re: Tania ▬ I can't imagine who I really am Mer 24 Mar - 23:39 | |
| Merci à tous
Je suis prête à une coupe de champagne (très fière d'être la première membre ! =)) Et Sevastien, ce n'est pas à moi de faire attention |
| | | Sascha M. Baxter
| Sujet: Re: Tania ▬ I can't imagine who I really am Jeu 25 Mar - 0:35 | |
| Sha' Tu oserais te défouler sur moi? Paaas Cooool.
Je crois que tu fais l'unanimité auprès de tout le monde hein ^^. En même temps avec une fiche pareil le contraire m'aurais étonné. Tu as retranscrit parfaitement se que je pensais pour Tania... Enfin bon je vais pas me répéter non plus ( Je voudrais pas avoir le pseudo de la radoteuse... J'en déjà assez de stupide comme ça XD.)
Validons nous maintenant ou attendons-nous l'ouverture officielle? ( De toute façon de ce que je peux en voir tu le seras XD )
Sevounet d'amour ( ) je me joins à Tania pour dire que c'est à toi de faire attention mon choupinet XD.
Pour ce qui est du Champagne heu... Qui en a en réserve? Pour moi ce sera du champomy ( Je suis raisonnable moi XD. )
Trêve de bavardage, je m'en retourne m'occuper de ce qu'il nous reste encore à faire ^^. *Comment je joue bien la patiente heiinn?* |
| | | Shanece A. Carter
| Sujet: Re: Tania ▬ I can't imagine who I really am Jeu 25 Mar - 11:32 | |
| Oh...Sacha, tu sais je pernds ce qui me tombe sous la main, je suis pas difficile XD!
Bon allez j'offre la tournée générale de champagne! et de champomy pour Sacha
Perso, je pense qu'on peut la valider, et on lui enverra un mp quand elle pourra commencer les rp, non? |
| | | Candice M. Rosedale
| Sujet: Re: Tania ▬ I can't imagine who I really am Jeu 25 Mar - 16:50 | |
| Bien penser pour le champomy ^^'
Je pense aussi qu'on peut la valider et si d'ici là il y a d'autre membres (ou pas) le mp me semble être une bonne idée . |
| | | Sascha M. Baxter
| Sujet: Re: Tania ▬ I can't imagine who I really am Jeu 25 Mar - 20:35 | |
| Je pense donc que personne ne me contredira si tu je dit que tu es VALIDEE.
Tu es en plus d'être la première membre, la première membre validée. L'est pas belle la vie? Un MP sera donc envoyé pour quand le RP commencera . *se sens de plus en plus impatiente maintenant XD.* |
| | | Tania P. Baker
| Sujet: Re: Tania ▬ I can't imagine who I really am Jeu 25 Mar - 21:09 | |
| Elle est magnifique. Merciiiiiiii |
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| Sujet: Re: Tania ▬ I can't imagine who I really am | |
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| | | | Tania ▬ I can't imagine who I really am | |
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